Les erreurs arrivent même aux meilleurs
1/ Un pitch trop long ou trop court
L’exercice du pitch est souvent chronométré. Attention au klaxon final !
Si votre pitch est trop long et que vous ne pouvez pas placer vos 2 dernières phrases CTA… Aie Aie Aie… Pas de CTA = pas d’action derrière. Finir en queue de poisson, quel dommage ! A l’inverse, quelqu’un qui a tout dit en 1 minute alors qu’il en disposait de 3, donne l’impression de fuir. C’est désagréable. Votre auditoire vous donne de son temps, faites en sorte qu’il en soit récompensé. Donnez-lui du grain à moudre.
La solution : entraînez-vous à haute voix, avec un chrono, devant 1 personne.
2/ Un pitch “frise chronologique” ou CV
Un pitch facile à rédiger, c’est tentant : J’ai créé Tartampion en 2021. J’ai d’abord fait ceci puis cela. Aujourd’hui, j’en suis là.
C’est clair comme discours. Mais c’est chiant… Storytelling ne veut pas dire “je raconte ma vie”.
La solution : cherchez une accroche originale et écrivez votre pitch avec la méthode PAS (Problème, agitation, solution)
3/ Un pitch centré sur le produit, le quoi et le comment
C’est le cas de 9 pitchs sur 10. Statistique basée sur mon pifomètre.
Un pitch n’est pas une brochure produit. Un pitch n’est pas un mode d’emploi.
La solution : parlez de ce qui vous anime, pas de ce que vous faites. Parlez des bénéfices clients, pas de vos caractéristiques uniquement.
Je peux vous aider à éviter les flops ! Contactez-moi !